Revif pour ma soeur Ginette

Strate 2

Entre août et septembre 2013, nous reprenons le travail de recherche afin d’en faire une présentation publique. C’est grâce à l’interdépendance des matériaux scéniques pourtant autonomes (texte, sons, voix, acteurs, lumière, scénographie, projection, objets) que nous donnons vie à Ginette à travers chaque comédien. Car ce qui compte ce n’est pas de savoir qui est Ginette. Ce qui compte c’est que Ginette peut être un paysage qui se déplace. À travers les neuf acteurs présents sur scène, la figure de Ginette se décline, glissant de l’un à l’autre. Elle fluctue permettant un travail de multiplication de plans, de liaisons et de déclinaisons de ce qui est à voir et à entendre. Nous cherchons à occuper la scène comme un paysage capable de se changer pas à pas.

Revif pour ma sœur Ginette est présenté les 4-5-6-7 Septembre 2013 au Théâtre de l’UQAC, ainsi que dans le cadre du colloque Du dispositif sonore au renouvellement de la pratique scénique, organisé par la Chaire de Recherche en Dramaturgie Sonore au Théâtre les 21 et 22 Mars 2014. 

Le texte est repris en 2014 à l’occasion de Dramaturgies en dialogue au théâtre d’Aujourd’hui à Montréal, dans une mise en lecture de Marie Brassard, jouée entres autre par Sophie Cadieux.

Chercheurs

Performeurs
Fabienne Augié, Chantale Boulianne, Éric Chalifour, Andrée-Anne Giguère, Elaine Juteau, Anne-Marie Ouellet, Yanik Potvin, Guillaume Thibert et Pierre Tremblay-Thériault.

Concepteur sonore
Guillaume Thibert

Concepteurs vidéo
Andrée-Anne Giguère et Pierre Tremblay-Thériault

Concepteurs lumière
Alexandre Nadeau, Chantale Boulianne et Jean-Paul Quéinnec

Musicienne
Chantale Boulianne

Scénographes
Chantale Boulianne, Jean-Paul Quéinnec et Yanik Potvin

Collaboratrices au dispositif scénique
Andrée-Anne Giguère, Elaine Juteau et Anne-Marie Ouellet 

Texte et dispositif scénique
Jean-Paul Quéinnec

Consultants
Julie Andrée T. et Dany Lefrançois

Archiviste
Charlotte Moreau de La Fuente

*Crédits photo: Charlotte Moreau de la Fuente

*Crédit : Patrick Simard